Nouveau jour
Avant mon déménagement, j’ouvrais mes volets sur une rue passante, pleine de voitures, de coup d’accélération et de bruits de carlingues secouées par un revêtement défoncé. Face à ma fenêtre, de l’autre côté de la rue… un mur, une fenêtre, la chambre des voisins d’en face.
Aujourd’hui, lorsque j’ouvre mes volets je me retrouve nez-à-nez avec des levés de soleil incroyables animés du seul gazouillement des oiseaux.
Je ne le savais pas avant d’arriver là, mais qu’est-ce que ça m’a manqué !
Le jour où j’ai pris ces photos, j’ai failli en tomber par terre tellement c’était beau… je me suis sentie perdre pied, pour de vrai.